SUPPer

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Syndicat

Unitaire et

Pluraliste du

Personnel

L'histoire

En janvier 1993, le syndicat est créé suite à une scission de la CFDT. Il devient majoritaire. Suite au déménagement de Malakoff à Elancourt et la fusion avec Dassault Electronique, SUPPer est toujours majoritaire dans toutes les catégories : ouvrier, technicien, administratif et ingénieurs/cadres. Il assure la gestion du CE de 1994 à 2018.

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L'histoire

En janvier 1993, le syndicat est créé suite à une scission de la CFDT. Il devient majoritaire. Suite au déménagement de Malakoff à Elancourt et la fusion avec Dassault Electronique, SUPPer est toujours majoritaire dans toutes les catégories : ouvrier, technicien, administratif et ingénieurs/cadres. Il assure la gestion du CE de 1994 à 2018.

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L'histoire

En janvier 1993, le syndicat est créé suite à une scission de la CFDT. Il devient majoritaire. Suite au déménagement de Malakoff à Elancourt et la fusion avec Dassault Electronique, SUPPer est toujours majoritaire dans toutes les catégories : ouvrier, technicien, administratif et ingénieurs/cadres. Il assure la gestion du CE de 1994 à 2018.

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Coordination nationale le 23 mai 2012

Par l'article du "Canard Enchaîné" du mercredi 9 mai intitulé "Thales fabrique aussi des charrettes" , en appui d'un article confirmant les dire de Chérèques avant les élections, à savoir que les gros patrons avaient consigne d'attendre les élections présidentielles avant de virer, nous apprenons que monsieur Vigneron veut se débarrasser de 1500 cadres.

Qu'importe que le PDG soit passé par une société d'audit américaine ou pris ses conseils chez madame Irma, ce projet était prévisible. Après la politique du "fabless", horrible mot du franglais managérial signifiant "moins (ou pas) de fabrication", il était fatal qu'on puisse un jour considérer qu'il y avait trop de cadres.

En réalité, la plupart des cadres de Thales n'encadrent que leur travail en fournissant une expertise intellectuelle de haut niveau. Plus d'une fois nous avons écrit que l'intelligence de la main et de l'esprit sont inséparables, et que ce sont ceux qui ont les usines qui inventent et maîtrisent les produits.

Il y a donc bien recherche de prétexte, comme avec les GAE dans le Groupe, pour accomplir un projet qui apparaît de plus en plus comme une démolition programmée, en dépit des contrats qui rentrent dans les filiales et en mépris des devoir que se doivent d'honorer les entreprises contrôlée par l'Etat, et qui souvent dépendent de ses commandes quand le client étranger fait défaut.

Soulignons l'aspect remarquable du chiffre de 1500 que nous avions calculé dès 2009 comme étant le minimum des effectifs à réduire par an, à partir de 2010-2011 pour atteindre l'objectif du plan PROBASIS [1] d'une économie de 1,3 Milliards d'Euros en 5 ans. Les communications sur les économies de papier ou de crayons ne servaient qu'à faire diversion.

Ce que peut réaliser aujourd'hui Vigneron, il le doit au travail accompli par son prédécesseur, même si les syndicats confédérés disent préférer l'ancien au nouveau. Pour nous, un patron reste le patron qui doit être tenu en respect. L'habileté machiavélique de l'ancien DRH Groupe à refourguer des ersatz de dialogue social a transformé les syndicats représentatifs en petits toutous. Rentre aussi en ligne de compte que les structures syndicales traditionnelles sont dépendantes financièrement des adhérents du MEDEF. C'est ce qui explique la tournure des mouvements qui cherchent à produirent trois effets. D'abord démontrer aux salariés que ceux sont eux qui n'ont pas la niaque, ensuite dans le même temps discréditer le radicalisme des syndicats autonomes en les faisant passer pour d'irresponsables fouteurs de merde, afin d'obtenir finalement l'image positive de syndicats combatifs et responsables qui ont fait de leur mieux.

Cette grille de lecture reste autant valable pour la façon dont a été mené pour la préservation de notre système de retraite que pour comprendre la danse du ventre des organisations confédérales.

Le fait que Chérèques dénonce les manœuvres patronales n'enlève rien à sa responsabilité, lui qui avec Thibault défendait en 2003 le Traité de Constitution Européenne, pourtant considéré comme dangereux pour le monde du travail et l'emploi par d'autres. Ce traité, refusé par référendum, fut ensuite passé en force par l'ancien président de la République sous la forme du Traité de Lisbonne.

Il faudra bien faire le bilan des stratégies syndicales de ces 10 à 15 dernières années. C'est contre de telles stratégies que sont apparus de nouvelles structures syndicales comme l'Union Solidaires, dont SUPPer est adhérent.

Nous expliciterons ici ou par voie de tract nos analyse spécifiques pour le groupe Thales, le site d'Elancourt et TOSA en particulier. En général, les organisations confédérales, qui grâce "au vote utile" obtiennent des postes d'administrateurs salariés, sont souvent déjà au parfum de ce qui se trame dans le dos des salariés. les administrateurs salaries elus grace au vote" utile " sont en principe au courant de ce qui se trame dans le dos des salaries;

 

 

Plus que jamais, ouvriers, ingénieurs, administratifs, techniciens, gestionnaires, nos sorts sont liés. Il n'y a qu'une vérité, celle du rapport de force que nous saurons établir, nous les salariés.

 

Les sommes qui ne sont pas versées aux salaires serviront à financer les restructuration, donc les licenciements.

 

Nos salaires sont nos emplois !

Ne laissons plus rien passer !

 

Seul la construction d'un vrai rapport de force peut nos garantir des salaires corrects et la préservation de nos emplois.

 

Interpellez vos organisations syndicales pour qu'elles reviennent aux fondamentaux.